Le soir du pre­mier jour arrive, et comme nous n’a­vons plus man­gé depuis beau­coup trop long­temps (y’a­vait juste un petit cock­tail à la sor­tie de la confé­rence), il est temps d’al­ler dîner.

Arri­vés devant l’hô­tel, en atten­dant le bus, cer­tains fouillent dans les menus des pro­to­types en posant des ques­tions. Luc nous explique à quoi servent les deux modes de sta­bi­li­sa­tion, ben oui, y’a des gens comme ça qui peuvent par­ler pen­dant des heures de la tech­nique sous-jacente.

Une bonne demi-heure de bus, nous voi­là dans un res­tau­rant en bor­dure d’o­céan. Odeur accueillante…

Comme disait Obé­lix : enfin une épreuve inté­res­sante ! Ce char­mant petit ani­mal embaume à vingt mètres…

…et ça tombe bien : à vingt mètres, il y a jus­te­ment un autre truc qui cuit. Vous avez pas l’o­deur, dom­mage pour vous.

Apé­ro à l’ex­té­rieur, ah ben tiens, pas mau­vais leur truc, et le flash a pas trop cra­mé la figure des deux autres mal rasés, bon point. Dix minutes, on rentre…

À peine assis, pen­dant que les pros com­mencent à trier leurs images, pour les gens nor­maux ça serait plu­tôt “comme j’a­vais beau­coup mar­ché, j’é­tais très très affa­mé”. Re-bon dosage du flash, ceci dit.

Le repas se passe bien, Luc nous explique qu’il était un mau­vais jour­na­liste et qu’on vaut pas mieux, Laurent monte au cré­neau, Franck et Auré­lie se font cou­per la parole, le char­mant Her­vé se trans­forme en pitt-bull pour sou­te­nir Laurent (O_o), bref, c’est gau­lois et dis­cret, d’ailleurs les Suisses du bout de la table en sont encore morts de rire.

Bien abreu­vés d’un petit blanc mi-sec légè­re­ment sili­ceux abso­lu­ment divin, bien nour­ris de trucs déjà pré­sen­tés ci-des­sus, et bien défou­lés pour cer­tains, on arrive à l’hô­tel à minuit et demie. Douche, fer­me­ture du volet (pour­quoi faut-il dix minutes pour trou­ver l’in­ter­rup­teur, alors qu’a­vec un enrou­leur manuel ça serait déjà fini ?), dodo.

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