On nous avait dit : “dress code : smart casual”. Sachant mon casual n’est géné­ra­le­ment jugé smart par les autres êtres humains, j’ai fait un effort : pan­ta­lon sérieux, che­mise, chaus­sures de ville (oui, j’en ai, bande de médi­sants !). Cra­vate ? Non, on a dit casual, quand même, faut pas pousser !

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Au pas­sage, quelques por­traits. On a Patrick Gripe, un vrai pho­to­graphe, avec nous — la légende selon laquelle d’autres gens que les tes­teurs uti­li­se­raient des appa­reils pho­to serait donc fon­dée ? O_o

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Il pho­to­gra­phie le même sujet que moi. Dia­logue sur­réa­liste, genre : “vous pou­vez pas pho­to­gra­phier autre chose ?” vs “Ben, c’est mieux de pho­to­gra­phier des jolies filles que les vilains poilus.”

Pré­ci­sons que cet indi­vi­du ne m’a pas connu à mon époque poi­lue.

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Arri­vés au res­tau­rant, on hal­lu­cine un peu. L’in­té­rieur est d’un “rus­tique moderne” assez réus­si, mais ce sont sur­tout les trois sapins par­fai­te­ment pla­cés der­rière la fenêtre, façon décor de carte pos­tale, qui attirent l’œil. On constate aus­si qu’il neige un peu, ça pro­met un peu de poudre fraîche pour demain : que du bon !

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On s’as­sied, on pho­to­gra­phie la table, le décor, les confrères impassibles…

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…le menu, les plats…

C’est fin, les plats sont nom­breux et har­mo­nieux, les convives gais, bref, on est contents d’être là.

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De retour à l’hô­tel, on dis­cute un moment. Nous note­rez l’ef­fort ves­ti­men­taire ambiant : jeans et t‑shirt sont à l’hon­neur, je serais pas­sé inaper­çu dans mon cos­tume de clo­do ordi­naire. Pas l’ha­bi­tude de faire plus d’ef­forts que les autres (y’a­vait quand même une ou deux excep­tions), je suis limite cho­qué. ^_^

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Enfin, ça dure pas : tout le monde est un peu fati­gué par le voyage, le grand air, les émo­tions, tout ça. Et le pro­gramme de demain n’est pas exac­te­ment de tout repos, donc autant en pro­fi­ter pour dor­mir un peu. Y’a des émo­tions en vue.