Le temps de récu­pé­rer quelques sacs dans la soute des Écu­reuil, la guide se pré­sente — elle s’ap­pelle Ste­pha­nie Rit­tler et nous accom­pa­gne­ra tout au long du séjour — et direc­tion l’hô­tel pour le repas de midi.

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La déco­ra­tion est sobre : ça rap­pelle vague­ment une salle de ban­quet du Krem­lin au bon vieux temps où Khroucht­chev vou­lait impres­sion­ner l’Oc­ci­dent. Je connais­sais vague­ment les hôtels de luxe pour hommes d’af­faires ; le pre­mier contact avec un hôtel de vrai luxe sur­prend encore un peu…

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…ne serait-ce que parce qu’i­ci, Inter­net est gra­tuit. Pour une fois que je n’ai pas pris mon ordinateur !

En atten­dant, comme tout le monde, je pro­fite du repas pour faire quelques por­traits avec le 30 mm.

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Claude Tau­leigne, mon­sieur objec­tifs chez Réponses pho­to, ça fait trois ans que je lis ses articles, mais je l’a­vais jamais ren­con­tré en vrai.

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Sté­phane Kauff­mann, patron de Ère numé­rique, dont je n’ai pas la moindre idée de ce qui a pu ame­ner à cette démons­tra­tion de plan­ter de clous.

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Rémi Vil­lard, du Monde de l’i­mage, bon client pour les pho­to­graphes : soit il fait le clown, soit il fait sem­blant de regar­der ailleurs… Là, il la joue John Dorian.

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Florent Pavillard, de Sam­sung, per­du dans une carte plus grande que lui.

On a (très) bien man­gé, il est deux heures et demie, on file cher­cher le maté­riel de ski. Hôtel, loueur et télé­phé­rique sont réunis dans un cercle de cin­quante mètres de diamètre.

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Il faut un bon quart d’heure pour équi­per les gens pré­sents — Laurent Katz, du Monde de la pho­to, est res­té à l’hô­tel pour bos­ser et Anne-Sophie ne skie pas pour lais­ser sa che­ville se repo­ser, mais ça fait tout de même huit clients d’un coup. On attend sur un banc, comme chez le docteur…

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Puis, direc­tion le télé­phé­rique, le télé­siège, la neige, tout ça ! Ste­pha­nie parle quelques mots de fran­çais, mais on échan­ge­ra sur­tout en anglais. Le neige est bonne, le temps est impec­cable, mais tout le monde n’est pas vrai­ment là pour skier… Après tout, on n’a pas beau­coup volé aujourd’hui.