Du Maghreb s’amenait Alice :
poitrine propre au désir des mains,
fesse faite au tour, aisne douce et lisse,
elle tapinait l’soir à Pantin.
La belle cassait, morgue bravache :
“pour une valse, tu paies le rein ;
tarif doublé pour l’effeuillage
et pour la nique, tu verras bien !”
Mais sous l’orgueil et l’air royal,
le drame de la vraie vie d’Alice :
son mac rompait tous ses délices.
Rêves d’évasion, challenge vain :
fuir ! Elle nagea tout le canal,
mais prit des coups d’canne, et revint…
Comme la dernière fois, si vous comprenez pas le titre, c’est par là.
(27/08/2014)