Glouglou

Pour les ama­teurs de contre-per­for­mances spor­tives, les temps du jour :

0’55, 0’58, 1’01, 0’59 = 3’53

0’57, 0’55, 1’00, 0’58 = 3’50

Ce qui fait mal au cœur¹, c’est de se dire que si j’ar­ri­vais à enchaî­ner ces deux séries au lieu de prendre 10 minutes de pause au milieu, je serais à 35 secondes sous mon meilleur temps sur 400 m… Soit une meilleure pro­gres­sion qu’en un an, alors que je n’ai grat­té qu’une seconde en deux mois.

Okay, de toute manière, c’est pas pour les per­for­mances que je me défoule en pis­cine, j’ai pas­sé l’âge pour m’y mettre sérieu­se­ment. Mais quand même.

(Et puis­qu’on m’a posé la ques­tion du com­ment je notais les temps : ma montre est étanche et dis­pose d’une mémoire dans laquelle elle retient les 30 der­niers temps inter­mé­diaires. Tant que je fais pas des séries de plus de 1 500 mètres, je peux donc consul­ter les chro­nos pré­cis à volon­té, juste en appuyant sur le bon bou­ton tous les cin­quante mètres par exemple. Et quand je ferai des séries de 1 500 mètres, j’au­rai moins de ventre qu’aujourd’hui. ^^ )

¹ En-dehors, bien sûr, du fait que ces chro­nos sur 200 m sont plus éle­vés que les chro­nos olym­piques sur 400 m…