Armstrong-Aldrin

Enten­du à l’ins­tant sur France 3 :

Une mis­sion à hauts risques : Neil Arm­strong a dû prendre le contrôle manuel du vaisseau.

Ah. Donc, si je com­prends bien, Arm­strong était un héros magique qui a tout fait tout seul.

Et Edwin Aldrin, “pilote du module lunaire” selon l’in­ti­tu­lé de son poste, pen­dant l’a­lu­nis­sage, il jouait au bridge peut-être ?

Ben non : il don­nait les indi­ca­tions d’at­ti­tude et de gui­dage. Le genre d’in­di­ca­tions sans les­quelles le type qui tient les com­mandes ne peut rien faire à part annu­ler l’approche.

Il ne s’a­git pas ici de reti­rer du mérite à Arm­strong, mais ils étaient deux à pilo­ter Eagle, et ni l’un ni l’autre n’au­rait pu le poser seul.