Case départ

Gros­so modo, j’a­vais plus été nager depuis que la tra­ver­sée de Paris a été annulée.

Mais là, n’ayant rien d’autre à faire et n’ayant pas dérouillé ce vieux corps grin­çant depuis long­temps, j’y suis retour­né. Au départ, je vou­lais faire un 800 m, mais…

1’00, 1’05, 1’08, 1’06, 1’07, 1’07, 1’07, 1’04, soit 8’43 au 400 m, puis 1’08. Et là, j’ai été gêné pen­dant un demi-tour, j’ai accro­ché deux bou­tons de la montre en même temps et elle a pas aimé. Du coup, j’ai fait 150 m en rela­tive dou­ceur, puis j’ai remis la montre en mode chro­no et essayé de pous­ser un peu sur les der­niers 200 m : 1’00, 0’58, 1’05, 1’03, soit 4’05.

D’un côté, je suis content d’a­voir dou­blé un type qui nageait avec des pal­mettes ; de l’autre, je suis très, très loin des 8’07 sur 400 m que j’a­vais faits en 2010 et plus encore des 3’50 sur 200 m de la fin 2009. Là, on est très près de mon niveau de base, celui que j’ai quand je fais pas de sport.

Oui, je sais, ça veut dire qu’il faut m’y remettre. ‑_-’