Il était, disons, exigeant. Très exigeant. À la moindre erreur, il vous envoyait valser sans ménagement avec un air de “bien fait pour ta gueule” assez vexant. Mais
C’était un tueur. Un vilain assassin contagieux qui allait créer des hordes de massacreurs. Un pervers qui voulait entraîner d’innocentes têtes blondes sur la voie de la haine
Il était très soigné. Élégant selon les standards de son époque, il était un narrateur-né, alternant avec aisance tension et relâche, intense réflexion et bourrinage pur et simple,
Comme beaucoup de passionnés d’aviation, il m’arrive de perdre du temps en simulateur de vol. (En fait, c’est pas totalement une perte de temps : faire des tours de